Ce que je veux dire en reprenant l'exemple de Toulouse, quand la salle le "Star" à fermé, il n'y avait plus de salle d'arcade ou un exploitant relevait la caisse dans Toulouse, plus aucune Salle !
J'ai pas eu la sensation que l'arcade etait mort pour autant, une asso s'est crée, il y avait aussi des tapis ddr dans un mag de jeux vidéo, les sessions fight continuait dans lequelle il y avait des nouveaux arrivant, un public, des gens inconnu, bref tout ce que vous decrivez exepter le fait que les machines comportaient des monnayeurs.
Il y a toujours eu des tournois de jeux de fight en France, des rencontres de joueurs, un public qui regardent... Je vois ce que tu veux dire Wovou mais la ou je serais jamais d'accord c'est avec le fait qu'une machine vit parce qu'elle a un monnayeur, la non, c'est pas (plus) limité à ca.
En tout cas quand le Star fermé à toulouse, j'ai pas eu l'impression que l'arcade était mort faute de salle.
Il y avait des machine au bouwling mais on y allait pas, pourtant on jouait à des jeu d'arcade avec toutes les composantes du genres mais pas en salle dédiée : rencontre, tournois, decorticage de jeux, stick, jamma... mais sans la notion d'exploitation.
Et pour la partie musée, restauration de vieilles bornes, la c'est encore autre chose, c'est du retro, de la conservation je suis d'accord, meme si aux etats unis, les record sur les jeux du golden age sont encore d'actualité, là bas c'est de l'arcade qui vie encore, il y a des salles retro, des systeme comme chez james (la salle de Peter hirshberg...), pas mal de salon genre le california extreme...
Mais après dans un endroit ou il n'y a pas de salle, un gars qui a quelques machines avec des joueurs qui viennent avec des potes ou il y a tournois sur un jeu de fight, la bien sur c'est de l'arcade, il se crée un groupe avec des nouveaux arrivant, une progression dans le niveau, des rencontres, un public...
C'est de l'arcade sans exploitant, le groupe vit aux rythmes des nouvelles sortis de jeux, bon bien sur sans les grosses dédiées mais bon enfin on aura surement l'occaz d'en discuter de vive voix oui.