N'oublions pas les tortues ninja pour les trentanaires, et action man, yu-gi-yoh, pokemon, beyblade pour les plus jeunes. C'est une technique commerciale qui n'est pas prête de mourir.
La plupart des dessins animés sont pensés pour la vente des produits dérivés.
La grande majorité des séries japonaises repose sur un concept multimédia (au sens propre) encore plus évolué : dragonball, saint seya, naruto, pour ne citer qu'eux, souvent un manga à la base, puis un animé, puis les jouets, vignettes et porte-clés, et enfin la consécration avec l'habillement en grande surface, pantoufles et pyjamas, et bien sûr les jeux vidéo, heureusement parfois bons . Quand le concept est essoré on reboot tout simplement la série.
Rares sont les auteurs qui n'ont pas cédé à ces engrenages à fric.