Je sais pas si c le bon endroit pour raconter cette histoire.
Beaucoup d'entre vous doivent se souvenir des "pirates" des bornes d'arcades.
j'entend par la des personnes qui demaraient des jeux sans avoir mis 1 petite piece !!
Pour moi ca remonte a mes années colleges et ils m'ont longtemp intrigués.
En effet dans un premier temp le pirate se rendait dans les salles les plus bruyantes (grandes, volume sonore au max etc..)
se mettait devant la borne et PAF !!! un grand coup de poing dans le monayeur.
ce qui avait pour consequence de donner des credits...
je ne vous raconte pas la premiere fois que j'ai vu ca.
surtout qu'a l'epoque j'etais plutot jeune et ces "pirates" etaient pour moi des "grands"
Mais petit a petit la techique etait connu et les gerants etaient de plus en plus mefiant.
Nombreux sont ceux qui ce sont retrouvés interdit de telle ou telle salle.
Mais les "pirates" sont pleins de ressources..... 8O
l'etape suivante etait plus "Mac gyver-ienne"
Il suffisait d'envoyer une petite decharge electrique dans la borne pour voir les credits s'envoler....c'etait magique a voir.
Mais vous aller me dire "comment??"
c'etais tres simple :
Il suffisait de demonter un briquet electronique
lever la partie avec le switch.
il restait alors une sorte de petit bouton poussoir avec un petit fil electrique.
Il ne restait plus qu'a placer le fil electrique soit sur la partie metallique a la base du joystick, soit pres du monayeur (et beaucop d'autres endroits).
Certains "bourrins" arrivaient avec leurs allume gaz....lol
Et sur l'ecran selon la machine et "l'allume credit" on pouvait voir jusqu'a 99 credits d'un coup.
Ca a duré un petit moment jusqu'a ce que les machines soit equipé d'une alarme et que les memes "pirates" soit encore exclus de ces memes salles.
Pour moi tout ca est indissociable de la magie des salles de jeux et des bornes d'arcades qui ont malheureusement presques toutes disparues.
voila ma petite histoire qui je l'espere aura rapellé des souvenirs a beaucoup et peut etre meme appris quelque chose a certains.
@bientot